La sélection favorisant les femmes grandes reposait sur la mortalité supérieure des femmes petites au moment de l’accouchement. Dans nos populations, les progrès de l’obstétrique ont probablement réduit l’intensité de cette sélection. Ne reste plus, chez nous que la sélection par les hommes, de femmes plus petites qu’eux sans compter une probable sélection par les femmes d’hommes plus grands qu’elles. Alors, le dimorphisme de taille me semble encore bien installé. PHG